Une nouvelle mission vint à être assigné à Daiki, du moins ce fut ce qu’il vint à entendre de la part de son supérieur.
Mais un mystère semblât entourer cette dernière.
Le jeune genin ne sut guère quoi penser de la situation, simplement il venait à obéir aux ordres.
Pour première consigne on lui avait demandé de se rendre dans la salle cent quatre au lendemain du jour où il recevait cette mission.
Aussi cela voulait-il dire qu’il avait au moins une demi-journée de libre.
Non pas mécontent de ce repos offert, beaucoup auraient cherché à profiter un peu des magasins et des diverses activités du village.

Puis venait le lendemain.
Se levant sans trop de précipitation, il espérait pour une fois pouvoir travailler avec quelqu’un.
Mais rien n’était jamais sûr et puis ce n’était qu’une mission de rang C.
Ce n’était pas quelque chose qui nécessite un groupe en général.
Se rendant donc à la salle cent quatre, Daiki ne savait pas trop comment se comporter.
Allait-il devoir attendre devant la porte et attendre l’heure exacte pour rentrer ou bien devrait-il frapper pour rentrer.
Voir encore simplement rentrer sans même frapper et prendre une chaise.
Un curieux dilemme qui se résolvait assez simplement.
Daiki venait à se racler la gorge puis il entrait sans la salle.
Frappant par deux fois avant d’exercer une pression sur la poignée, le ninja entrouvrait la porte à vive allure.

-Bonjour, comment ça va ?

Alors qu’il souriait bêtement à s’en troubler la vue, il venait à mieux regarder la salle.
Il n’y avait personne.
Daiki fut à la fois soulagé d’apprendre cela et aussi anxieux.
Car il restait certes dix minutes encore avant le début de la réunion, mais dix minutes ce n’était pas grand-chose non plus.
Fermant la porte après avoir pris le temps de vérifier qu’il n’y avait personne dans le couloir qui arrivait.
Daiki venait à prendre sur l’un des sièges autour de la table.

Là seul dans une salle qui pouvait au moins contenir une trentaine de personnes, il réfléchissait à quelle mission cela pouvait être.
Après un moment il se disait que cela ne devait pas être grand-chose non plus sinon le village aurait fait appel à quelqu’un de plus compétent que sa personne.
L’heure tournait et rien, personne ne semblait arriver.
Daiki se levait de son fauteuil pour aller voir dans le couloir et hormis quelques personnes passant comme ça.
Nul ne semblait vouloir se stopper devant la salle cent quatre.
Puis le ninja venait à se répéter cent quatre dans sa tête.
Jusqu’à venir douter du fait qu’il soit dans la bonne salle.
Ressortant de la pièce avec un pas rapide, il ouvrait la porte d’un coup.
Là sans même chercher à regarder le numéro de la salle sur la porte il pouvait voir face à lui le numéro de la salle cent quatre.

Sans attendre, il venait sortir de la pièce et à refermer la salle d’où il venait.
La porte close, il venait à frapper à l’autre porte.
Il y eut trois coups cette fois-ci, puis Daiki pénétrait dans la salle.
Là se tenait déjà trois personnes dans la salle. Il y en avait une assise et deux autres debout.
Regardant brièvement l’horloge, le jeune ninja pouvait constater avec un grand soulagement qu’il lui restait deux minutes encore avant d’être en retard.
Il baissa la tête pour saluer les personnes dans la salle et sans un mot il prenait place à sur un siège.
A sa tenue on n’aurait pas clairement pu deviner qu’il s’agissait d’un ninja.
Entre son maillot de basket ou son treillis avec ses rangers.

Les missions commençaient à s'enchaîner maintenant qu'il était devenue Chûnin et responsable d'escouade. Néanmoins, il continuait sur des missions de bas rang mais se fichait pas mal tant qu'il pouvait être utile à son village, c'était là tout ce qu'il trouvait d'important. Le rendez-vous était donné à la salle cent-quatre afin de se voir restituer l'ordre de mission, il s'agissait d'une rang C mais ça lui allait tant qu'il pouvait continuer à faire ses preuves.

De ce qu'il avait pu tirer comme informations, il allait être accompagner d'un genin nouvellement arrivé. Pas mal, Hiroki avait presque figure paternelle malgré sa trentaine d'années. S'étant comment toujours apprêté, la barbe parfaitement taillé et sa combinaison bleu au logo kumojin, le Danseitai se dirigea jusqu'au Palais du Raikage, plus précisément au bureau des missions.

Il arriva pile à l'heure, ce qui était peu coutumier puisqu'il était toujours à l'heure ou surtout en avance. Arriver à l'heure, c'était arriver en retard selon lui cependant il avait du faire un détour puisqu'il y avait eu quelques travaux sur la route qu'il prenait habituellement.

Pénétrant dans la fameuse salle, le chûnin constata trois personnes dont une debout puis une seconde qui attendait plus en retrait. Les deux personnes debout quittèrent rapidement la pièce avec un rouleau en main, probablement des shinobis ayant reçu leur mission. Hiroki tourna sa tête vers l'individu à l'accoutrement bizarre (et, finalement il ne pouvait pas porter de jugement au vu de ses habits).

- Bonjour, j'imagine que tu es mon partenaire ? Danseitai Hiroki, enchanté.

Il offrit un sourire avant que les deux soient appelés par l'homme assis derrière son bureau. S'en approchant, le secrétaire leur tendit un rouleau.

- Félicitations pour votre promotion, Hiroki. Nul doute que cette mission ne sera qu'une formalité pour vous, n'est-ce-pas ?
- Oh, nous verrons bien...

Il prit le rouleau puis sortit de la pièce en compagnie de son partenaire, défilant l'objet entre ces mains, il constata l'ordre de mission et le tendit à son partenaire.

- Et bien, c'est parti. C'est ta première mission ? Comment la vois-tu ?

Il fallait bien faire travailler la nouvelle génération, non ?

Spoiler:

Daiki venait à peine d’arriver dans la salle qu’il ne lui fallut pas attendre longtemps avant de voir une autre personne débouler.
La porte s’ouvrait et sous les yeux de Daiki, venait à se dessiner un homme à l’étrange aspect.
Ce n’était pas que la tenue de l’homme était hideuse ou dérangeante simplement le jeune homme n’avait jamais pu avoir l’occasion d’observer pareille pièce de tissu.
De ce que pouvait voir le jeune genin, l’homme arborait le blason de Kumo sur son torse.
Un signe indiquant que ce dernier devait certainement faire partie du village et même qu’il était certainement un ninja.
Car de ce qu’avais pu voir en règle générale Daiki, les civils n’aiment guère les tenues atypiques.

L’homme venait vers Daiki et sans attendre un instant de plus, il venait à le saluer.
Offrant à la fois un sourire et un nom, l’homme avait une bien étrange allure et une aura qui semblait éveiller un sentiment bien particulier chez Daiki.
D’une voix amicale et répondant au sourire par un autre sourire, Daiki répondait à l’homme.

-Euh oui je présume, enfin je veux dire oui bonjour.

Daiki ne manquait pas de stresser quelque peu.
Dans sa voix on pouvait ressentir toute la tension qui l’habitait, mais son corps également semblait laisser transparaitre la chose.
Il fallait dire que le jeune homme avait répondu sans vraiment réfléchir à la chose, du moins c’est ce qu’il souhaitait faire ressentir.
Car dans les faits Daiki était loin d’être un si grand idiot que cela, il était plus comparable à un serpent.
Cherchant à manipuler dans l’ombre, avec l’image d’un idiot en apparence.
Passer pour un idiot avec ses côtés négatif mais on moins il ne risquait de s’attirer les foudres des trop gros bonnets.
Nul ne viendrait se méfier d’un crétin et cela Daiki l’avait compris depuis sa courte période d’errance en tant que chasseur.
Jamais il ne venait à se relâcher dans son rôle et il lui fallait se méfier de tout le monde.
Ausssi il n'était pas simple d'obtenir la confiance du jeune genin.


Puis les deux autres venaient à quitter la pièce, laissant alors la place au partenaire de Daiki qui se nommait Danseitai.
En écoutant la courte discussion entre les deux hommes, Daiki comprenait alors que l’homme dans la combinaison bleue était en réalité un chunin.
Ainsi ce dernier était son supérieur.
Suivant ce dernier jusqu’à l’extérieur de la salle afin de débuter la mission.
Hiroki venait à lui demander ce qu’il pensait cette mission ?

-Oui monsieur c’est ma première mission… Comment je la vois ? Je ne sais pas quoi dire, étant donné que cette dernière et ma première mission. Je pense que l’on devrait commencer par se rendre sur place pour enquêter. Je ne tiens pas m’avancer avant qu’on ait pu découvrir le moindre indice. On pourrait demander aux gens ce qu’ils ont vu, vous ne pensez pas ?

Hiroki observa son partenaire. Il n'y avait pas grand chose à dire sur cet homme, tant était qu'il était grand. Un peu plus grand que lui, alors qu'il n'était pas si petit. Un géant ? Quand même pas. Il avait un style particulier, mais évidemment… Hiroki n'était pas le mieux placé pour en parler étant donné la combinaison qu'il arborait.

Se présentant tout d'abord à lui, il attendait un retour sur son identité (quand bien même, il la connaissait déjà) mais ce ne fut pas le cas. Un simple bonjour. La mission fut donnée, il put lire alors qu'il s'agissait d'une mission intéressante quoique le rang n'était que C. Elle lui faisait penser à sa dernière mission, qu'il avait pu effectuer avec Raesthra.

Hiroki demanda à son partenaire alors ce qu'il pensait de cette mission et comment il la voyait. De son côté, le chûnin avait déjà une petite idée de comment la gérer mais il fallait bien faire grandir les genins du village. Comme avait pu faire certains gradés avec lui-même. Daiki proposait d'interroger quelques personnes sur ce qu'ils ont vu.

- Effectivement, nous pouvons commencer par cela. Allons-y. Il est noté que les tracts sont un peu partout dans la ville, mais les dernières ont été retrouvés près des galeries marchandes.

Les deux shinobis purent y aller. Sur place, ils purent constatés qu'il y avait énormément de monde, y avait-il déjà des soldes ? Probablement.

- Je vais par là et tu vas vers là-bas. Interroge, pose les bonnes questions Nous nous retrouverons ici-même dans une trentaine de minutes pour regrouper ce que nous aurons pu apprendre.

Il n'attendit pas de réponses, l'Homme-Elastique vaqua à ses occupations et s'affaira sur un étal vendant divers tissus. Il posa son regard ambré sur le vendeur.

- Bien le bonjour, Monsieur. Voilà que de belles marchandises que vous vendez là...
- Merci! Ce sont des pièces de qualité, vous savez!
- Je n'en doute pas. Enfin, je ne suis pas là pour acheter quoique ce soit malheureusement, j'aurai quelques questions à vous poser.
- Oh, vous êtes un shinobi du village ?
- Exactement. Nous enquêtons sur les affiches qui ont été collés un peu partout en ville, sauriez-vous quelque chose à ce sujet ?
- Je dois avouer que je ne comprends pas. Vous savez, sans vous, nous ne nous sentirons pas du tout en sécurité notamment lors de nos déplacements!

Toujours devant le bâtiment des missions le duo s’était stoppé là un instant pour discuter. Daiki ne savait guère trop quoi dire si ce n’était qu’une réponse tout simple et de la manière la plus sérieuse aux questions.
La réponse de Daiki envers son supérieur fut bonne bien que le chunin ne daignait pas féliciter le jeune genin de la chose. Daiki comprenait alors que l’homme n’était pas un sentimental. C’était là un moyen comme un autre de pouvoir comprendre qui était son supérieur.  Aussi il pouvait en venir à la conclusion que si ce dernier n’était pas un sentimental alors il n’aimerait certainement pas la lèche. L’indiscipline pouvait peut-être marcher se disait le garçon. Mais cela était d’autant plus risqué si jamais le ninja n’aimait pas cela. Il valait mieux donc jouer la carte de l’ordre et du parfait petit soldat.

Sans se disperser l’homme venait à parler encore et toujours de la mission. Daiki comprenait d’avance qu’il serait difficile d’aborder un autre sujet. Et jouer le bon petit soldat ne serait pas suffisant pour s’en faire une relation.
D’après le chunin les tracts avaient été vu dans les galeries marchandes pour la dernière fois. Si des informations pouvaient se trouver là-bas il était aussi évident que les auteurs des méfaits ne venaient pas de ce quartier-là. A moins d’être complétement stupide. On ne donnait pas son adresse ainsi se disait le ninja.
Le duo de ninjas se rendait donc sur place. La foule se faisait fortement ressentir et si le duo n’en imposait pas, notamment grâce à l’homme, il aurait pu finir par être séparé à cause de la masse.

Les vendeurs avaient la voix forte et malgré les bavardes de la foule, on pouvait clairement entendre leurs offres.

-Et bien nous voici aux galeries. Je pense qu’il y a des informations à ressortir d’ici, mais les vandales ne doivent pas être de ce quartier-là. Je pense qu’ils ont choisis ce quartier comme cible à cause du passage, il est donc difficile de savoir qui fait quoi. D’autant qu’avant que le Soleil ne se lève, il n’y a que les marchands qui préparent leurs étals… De quoi ? On se sépare… Ah d’accord. Il n’a pas dû m’entendre avec la foule, mais qu’importe avec de bonnes infos je viendrais peut-être à toucher sa corde sensible.

Daiki avait trente minutes pour trouver des informations. Que pouvait-il cibler ? En réfléchissant à la chose il commençait déjà par définir des catégories à interroger.  
En premier venait les marchands, choix évidemment d’autant que le matin ils sont les premiers à arriver et même les derniers à partir.
En deuxième il y a les bars et restaurants, eux viennent même à fermer bien plus tard pour certains que les échoppes des marchands. Mais c’est un choix assez aléatoire d’autant qu’avec le monde qu’ils croisent, il y a peu de chance qu’il est des souvenirs.
En troisième venait les passants, on aurait pu penser qu’au moins une personne avait bien pu voir quelque chose. Mais c’était une mauvaise idée que d’aller les aborder. Il fallait déjà avoir la chance de tomber sur là personne, puis si elle n’était pas venue dénoncer le méfait c’est qu’elle avait soit peur de parler soit qu’elle était complice.
Et la dernière catégorie qui venait à la quatrième place. Les enfants et les mendiants, si ces derniers sont très sujets aux rumeurs ils peuvent voir ce que d’autres ne peuvent.
Daiki s’orienta d’abord vers un groupe de jeune qui jouait à un étrange jeu de carte. Il y était question de points d’attaques et de défenses ainsi que des points de vie. Enfin tout un système qui échappait totalement à Daiki, ce dernier n’ayant que peu d’intérêt pour le jeu en lui-même.
Après quelques questions en vantant le mérite des enfants dans leur partie et en glissant un petit billet par là pour qu’il puisse s’acheter de nouvelles cartes. Daiki apprenait que le premier des marchands à être arrivé était le boucher. Aussi il apprenait l’existence d’un groupe de jeunes extrémistes. Mais ne pouvant en apprendre davantage sans risquer de dévoiler sa nature de ninja. Il s’en allait vers le boucher.
Il ne restait plus que vingt cinq minutes pour obtenir des informations et circuler dans la foule qui était dense n’aidait en rien.
Face au boucher Daiki devenait plus sérieux et il venait presque à dévoiler qu’il était un ninja. Non pas qu’il soit non plus discret sur ce sujet-là. Simplement peu de gens venaient à le connaitre et sa tenue ne pouvait en rien le trahir. On ne pouvait penser de lui qu’il était simplement un jeune fan de quelque chose.
Le boucher s’extirpait des questions en répondant de manière évasive. Il ne voulait pas avoir affaire avec le groupe de scélérats et ne souhait en aucun cas en parler.
L’attitude peu coopérative du marchand était suspecte bien qu’en définitive rien ne permettait de l’incriminer.
Daiki s’en alla alors boire un verre dans le bar le plus proche de l’étale du boucher. Là il commandait un simple chocolat chaud avec deux cubes de sucres et une petite viennoiserie.
Il choisissait une autre approche d’autant que sur les tables autour se trouvaient nombre de jeunes. Daiki commençait alors à vanter le style graphique des prospectus. Beaucoup le regardait comme s’il était un moins que rien et un criminel. Mais une table vint à lui. Au nombre de trois, il y avait deux jeunes hommes et une jeune femme. Ce fut d’ailleurs cette dernière qui venait s’adresser à Daiki. Le jeune homme pensait que ce n’était-là que des civils qui venaient le gêner dans sa tentative. Mais il n’en était rien et bien au contraire même.
Il s’agissait d’un petit groupe de gens membre du fameux groupe extrémiste dont avait parlé les enfants qui jouaient aux cartes.
La jeune femme venait à inviter Daiki à la suivre. Sans attendre Daiki ne pouvait refuser les avances de la femme bien que les deux hommes venaient eux aussi. Pour l’inciter à les suivre elle n’avait pas manqué de mentionner faire parti d’un groupe ayant la même opinion que lui.
En passant à côté d’un mendiant Daiki savait qu’il ne pourrait pas tenir le rendez-vous avec son supérieur. Aussi il faisait mine de parler à un mendiant pour lui offrir une pièce. Il lui tendait la main comme pour lui serrer la pince, tout en déposant trois pièces dans son bol. Daiki mentionnait alors avec des mots simples le code vestimentaire du chunin et son visage et il lui disait d’indiquer à ce dernier avec qui il était et vers où il allait. Saluant le mendiant et ce dernier répondant d’abord avec surprise avant de hausser un sourire en voyant les pièces.

C’est ainsi que Daiki venait à quitter la place principale pour s’orienter dans une ruelle.

Le Danseitai questionnait les marchands qu'il croisait. Il était de nature sociale et parlait à des inconnus ne lui était clairement pas étranger, après tout il avait travaillé dans un cirque une grande partie de sa vie et était sujet à s'entretenir avec les clients qu'il avait pu avoir dans son passé. Il n'avait alors aucun mal à entretenir la conversation, à trouver ce qu'il cherchait précisément : à savoir des précisions quant aux tracts.

Les marchands étaient les premiers à arriver sur les lieux, ils avaient forcément vu quelque chose mais voudront-ils parler ? Hiroki était resté sur le premier marchand, sentant qu'il avait des choses à dire et ce fut bien et bel le cas. Ce marchand était clairement un pro-shinobi, et il allait pouvoir être intéressant. Hiroki continua de le questionner : qu'avait-il pu voir ?

Malheureusement, le vendeur de tissus ne pouvait pas éclairer sa lanterne plus précisément. Les indices étaient clairement maigres, Hiroki salua le marchand et continua sa route posément dans la rue marchande. Il ne restait que très peu de temps pour Daiki de revenir. Peut-être que son enquête avait été plus fructueuse que la sienne ? Hiroki regarda autour de lui en espérant qu'il y ait quelque chose, néanmoins il fut arrêté par un mendiant.

Posant son regard sur ce-dernier, l'homme lui donna quelques informations. Daiki... Dans quel bourbier s'était-il mis ? Les indications du mendiant furent précises, l'Homme-Elastique n'attendit pas une seconde plus et se dépêcha afin de retrouver son partenaire.

Il arriva vers là où était initialement le mendiant. Mais, aucune trace de Daiki.

- Mince...

Long soupir pour le shinobi des Nuages, espérant que rien de grave ne lui soit arrivé. Il s'enfonça dans l'unique ruelle de la birfucation, mais toujours pas de trace du genin. Toutefois, le Danseitai restait sur ses gardes, il lui était peut-être arrivé quelque chose de grave.

Daiki suivait donc en silence le groupe de jeunes mystérieux. Si ce n’était pas des ninjas ou des utilisateurs de chakra à trois contre un il avait toutes chances de l’emporter. En revanche si c’était l(inverse le jeune homme n’avait aucun moyen de pouvoir s’en sortir. Du moins pas sans l’aide de son supérieur. Ce qui aurait quelque peu déplu au jeune genin, car il aurait bien voulu montrer ses compétences en amenant de nombreux indices quant au lieu de production de affiches par exemple.

La après avoir emprunté la seule ruelle se trouvant au moins d’une trentaine de mètres depuis le bar. Daiki se trouvait dans un lieu fort peu intéressant. Le sol était aussi sale que les murs, l’odeur quant à elle ne pouvait laisser que l’envi de vouloir s’en éloigner. A vrai drie c’était peut-être même la ruelle qui devait servir de toilette le sosirs alors que la rue et la place devait être inondé de monde profitant des bars. C’était à se demander ce que voulais la jeune femme et surtout dans un tel endroit.
En cas de combat il était sûr que le jeune genin ferait tout pour ne pas devoir toucher à ce sol ou aux murs.

Là elle s’arrêta et se retourna vers Daiki. Alors que ses deux compagnons se trouvaient dans son dos. Elle ne manquait pas de faire preuve d’un certain charme en usant de son visage angélique. Et malgré la ruelle l’effet était presque parfait, mais Daiki n’oubliait ce qui l’avait amené en pareil endroit. Elle venait à faire un discours presque comme écrit en avance. Le jeune ninja venait à se demander si elle n’était pas une recruteuse. Si c’était le cas elle avait déjà un certain rang dans son groupe et cela peu importe la taille de ce dernier.

Daiki jouait le jeu. Rapidement il parvenait à se faire passer pour un jeune révolté par le système. Il évoquait des causes assez superflues et même vide de sens. Mais visiblement ce qui intéressait la jeune demoiselle n’était pas les motivations de Daiki mais simplement le fait qu’il soit contre les ninjas.
Une bien étrange idée que voici. Le trio avait donc été trompé par Daiki. Il fallait dire que le ninja était quelque peu hors du cadre de conduite de la plupart des ninjas. Il oubliait sans cesse son bandeau, il ne portait pas une tenue qui permettait de laisser penser à un ninja. De plus il disposait de peu d’outils en dehors d’un kunai. Le kunai pouvant passer pour un simple couteau.

Après ce court entretien la femme venait à faire signe à l’un de ses deux gaillards. Ce dernier venait à mettre un sac sur la tête de Daiki.
Par la suite le jeune homme pouvait entendre une porte s’ouvrir. Pendant un certain temps il venait à marcher. Le ninja avec la tête dans un sac de jute pouvait d temps à autre remarquer quelques détails à travers le maillage du sac. Peut-être des détails qui lui seraient utiles pour après. Profitant que la porte se referme il venait à jeter son kunai de manière furtive devant la porte. Par chance aucun des trois jeunes n’avaient remarqué la chose.

Daiki espérait que le mendiant avait rempli son rôle, après tout il avait payé de sa poche ce dernier. Ne restait plus qu’ à espérer que son superviseur de mission vienne à remarquer les indices. Dans le tunnel qui ne semblait pas vraiment avoir de bifurcation, Daiki laissait tout de même quelques empreintes dès qu’il le pouvait en marchant dans la boue. Mais après un virage, un bruit sourd venait à se faire entendre. Comme si l’on déplaçait une énorme porte en pierre pour obstruer le passage. Peut-être un moyen de se cacher dans ce couloir qui allait tout droit.

Hiroki poussa un long soupir.

Dans quel merdier s'était fichu le genin qui l'accompagnait ? Pourtant, il avait été presque clair. Mais, la fougue du genin était plus forte. Hiroki se devait de rapidement le retrouver, sa vie pouvait être en danger tant les informations quant à ce petit groupuscule étaient insignifiants. Le Danseitai continua sur son trajet, pour arriver dans une sorte de sous-sol. Les galeries souterraines ? Peu de chance, celles-ci étaient en travaux actuellement et fermées au public, gardé par des shinobis continuellement.

S'enfonçant dans la noirceur de l'endroit, Hiroki constata que ce n'était pas les galeries souterraines car ils étaient peu profonds. Le chûnin continua d'avancer jusqu'à constater la présence d'un kunai au sol. Regardant l'arme au sol et l'analysant, il sut que cet équipement ninja était à Daiki.

- Je ne suis pas loin...

Il regardait autour de lui.

Rien. Tout était fermé ici-même où il se trouvait et il ne semblait n'y avoir aucune issue. Malgré la crasse présente sur les murs, le shinobi des Nuages palpa ceux-ci et s'arrêta alors au niveau d'un pan de celui-ci.

C'était creux. C'était ici.

Hiroki tenta de pousser mais rien ne se passait. Le shinobi poussa un énième soupir, gonflant alors son bras massivement puis portait alors un coup puissant afin de détruire la "porte". L'endroit était tout aussi sombre, légèrement éclairé par des bougies à l'huile.

Il continua alors d'avancer sans savoir où ses pas le menaient, mais il espérait alors pouvoir rapidement retrouver la trace de Daiki. Etait-il en danger ? Que se passait-il réellement ? Les questions étaient innombrables, évidemment.

- Bon, j'ai l'impression de tourner en rond et ça commence sérieusement à m'épuiser.

En tout cas, c'était sûr qu'ils étaient sur la bonne piste vu l'endroit.

Là dans le souterrain le jeune ninja se retrouvait non plus encerclé par trois individus plus que suspects, mais par une vingtaine à présent. L’ambiance était quelque peu tendue, en même temps il fallait comprendre ceux déjà sur place. La recruteuse si tel était son rôle, venait de ramener un illustre inconnu dans leur repaire presque secret. Presque car à présent il ne l’était plus aux yeux de Daiki au moins.

La salle quant à elle était quelque peu lugubre. Les murs froids et de pierre n’avaient que pour décoration des étagères métalliques et par endroit les murs étaient comme décrépies, laissant apparaitre les briques qui composaient la fondation du bâtiment sous lequel tous se trouvaient.
Il fallait dire que le voyage avec le sac n’avait pas plus à Daiki, mais il aurait préféré que l’on ne lui retire pas ce dernier. A présent il savait bien trop sur cette opération pour pouvoir être relâché sans que rien ne lui soit fait.
Car tout autour de lui en plus des « révolutionnaires » ou des « terroristes » se trouvait d’abord le nécessaire pour produire des affiches. Il y avait la partie atelier et création graphique et une grande imprimante comme pour les journaux. On pouvait même voir dans l’atelier un homme qui s’afférait à réaliser une nouvelle affiche.
Mais ce n’était pas ça qui inquiété le jeune ninja. Non ce qui l’inquiétait était d’une nature bien plus grave et dangereuse. Dans un des coins de la pièce venait à se trouver des explosifs et divers outils ninja.

La chose étant que si pour l’heure le groupe de jeunes se laissait porté par leur affiche, ils n’allaient pas tarder à passer à l’étape supérieure. Le souci étant que si une affiche ne faisait pas un grand mal, les bombes elles pouvaient à l’inverse provoquer une grande souffrance et terreur.

Daiki devait donc agir mais comment faire, d’autant qu’il devait prévenir son supérieur de son avancée dans l’enquête bien que dans les détails il ignorait où il se trouvait.
Mais sans qu’il eût son mot à dire, le chef des terroristes venait à faire un geste de la main comme pour indiquer qu’il faille remettre le sac sur la tête. Bien loin dans la pièce, Daiki pouvait entendre des gens parler. Quelques minutes après, on revenait vers lui. Là la femme qui venait de le recruter lui annonçait qu’il devait alors accomplir une épreuve pour pouvoir rejoindre le groupe. On lui plaça dans les mains un pinceau et un pot de peinture. Puis on lui demandait d’aller écrire un slogan révolutionnaire sur l’académie ninja.

Là on le guider vers la sortie avec le sac sur la tête et surement la même escorte qu’au départ. Il avait donc quelque chose à accomplir. L’énorme porte en béton venait à bouger de nouveau. Et revoici Daiki dans son couloir humide.

Dans le couloir alors que ces ravisseurs qui se trouvaient être des ennemis bien qu’eux pensaient être des alliés de Daiki ? Le jeune ninja s’avançait alors qu’il ne pouvait rien voir si ce n’était le sol. Sol qui par ailleurs n’avait pas changé d’un pouce laissait le jeune pensait qu’il reprenait le même couloir que lors de sa venue. Un bon indice qui indiquait la présence d’un seul accès bien qu’il pouvait y avoir une sortie de secours.

Les bassettes dans la boue, on pouvait aisément deviner qu’il n’y avait pas que de la boue, mais bien des déchets divers avec. Rien de très glorieux pour la résistance et qu’un fin analyste aurait pu deviner en regardant les chaussures des rebelles d’où ils venaient.

Mais subitement tout semblait s’accélérer. Daiki pouvait entre un mouvement rapide. Il hésitait un instant à retirer son sac de la tête en pensant à un assaillant qui viendra lui porter un coup. Mais habité par une grande confiance en ses instincts et sa chance le jeune homme ne venait pas à réagir. Il restait figé quand il entendait ses trois nouveaux compagnons tomber au sol. Un bien drôle déroulement, car Daiki comptait agir de la sorte tôt ou tard. Il aurait juste fallu trouver un endroit moins loin de l’entrée de la cache des terroristes. Bien qu’on ne pût pas appeler ces jeunes ainsi. Après pour l’(heure ils n’avaient fait que de la propagande. Mais rien d’autre qui ne soit grave aux yeux de la loi, bien que la bombe qu’ils s’apprêtaient à poser, pouvait sérieusement aggraver leur cas.

Puis une voix familière se faisait entendre, Daiki allait retirer son sac de sa tête pour voir qui s’adressait à lui afin de confirmer l’identité de ladite personne. Mais voici que l’inconnu venait à faire cela à sa place.
Il s’agissait du chunin en charge de mener cette mission avec pour appui Daiki, Danseitai Hiroki. L’homme à la combinaison bleue était connu dans le village ne serait-ce pour sa tenue tout comme Daiki était connu pour être arrivé dans le village avec une peau de bête et finalement il était vêtu d’une tenue de basket.
Sans attendre le chunin souhaitait savoir ce que Daiki avait appris. Il n’avait même pas pris la peine de lui demander s’il allait bien. Pour le jeune genin, c’était donc à un homme pragmatique et ne se souciant que des résultats à qui il avait affaire. En soit cette mentalité ne dérangée pas Daiki et elle était toujours mieux que certaines autres. Mais le petit con de Kumo restait un petit con.

-Je vais bien, merci ! Sinon pour notre affaire je ne peux pas dire si de l’autre côté de cette porte il y a toutes les fraises dans le panier. Mais au moins il y en a un bon nombre. Ils ont aussi une bombe, la puissance est suffisante pour faire exploser une maison de trente mètres carrés. Je n’ai pas trouvé de menaces importantes et je m’apprêtais à venir vous chercher.

Le chunin venait à attacher les gens au sol. Sans doute que le duo pourrait alors se concentrer sur l’entrée dans le repaire.

-De ce que j’ai compris la porte s’ouvre de l’intérieur. Mais bon avec un bon coup je pense pouvoir la défoncer. On peut aussi utiliser des parchemins explosifs à vous de voir.

Le plan du chunin était assez logique, bien qu’il y eût un point assez important qui fut étrange. En effet, cela aurait plutôt dû au chunin de foncer dans el tas plutôt qu’au genin. Il était question d’une bombe après tout.
Su jamais l’assaut se déroulait mal en plus d’y laisser Daiki et le chunin sur le carreau. Il y en aurait un tout nouveau puit qui ouvrirait au cœur de Kumo no Kuni. Mais qu’importe pour Daiki, si le plan était ainsi alors il était ainsi. Et puis il n’y avait que des adolescents dans cette histoire. L’explosif avait même d^$u être récolté grâce à l’ensemble de l’argent de poche des gamins mis en commun. Des gamins, le jeune genin venait à les prendre de haut alors que lui-même était tout aussi jeune qu’eux. Simplement lui il avait un emploi et se trouvait déjà bien plus mature qu’eux, même si son comportement en société pouvait parfois laisser à désirer.

En position, les deux ninjas n’allaient pas tarder à lancer l’assaut. Mais fallait-il encore pour cela que le chunin parvienne à bouger le monstre de pierre qui servait de porte. En effet, cette dernière en plus d’être lourde et massive semblait également s’ouvrir vers eux, de quoi rentrer la tâche un peu plus complexe que prévue.

Mais sans problème certainement, le supérieur de Daiki venait à ouvrir la porte pour laisser Daiki lancer l’assaut. Fonçant avec une rare célérité dont il avait le secret le jeune ninja parvenais à rentrer aisément dans la pièce tout en lançant son fumigène. Il n’y avait pas une seconde à perdre. L’objectif était la neutralisation de la bombe puis des gens présents pour sécuriser les lieux. Daiki savait parfaitement où trouver la bombe et c’était attendre que ce dernier venât à foncer jusqu’à cette dernière.
De quelqu’un agile il venait se glisser derrière le chef des gamins encore surpris de voir un assaut sur son repaire alors qu’il se pensait méconnu des shinobis en charge du village.
Un simple coup à la gorge suffisait à le neutraliser.
Trop simple ? Peut-être, mais il fallait dire qu’il n’y avait que des civils et des enfants qui plus est. Aucune expérience du combat ou même aucun manieur de chakra pour l’heure. Sécurisant la table sur laquelle se trouvait la bombe, Daiki éliminer jusqu’à deux autres personnes en profitant toujours du fumigène.
La zone de la bombe était protégée.

C’est ainsi que la mission en compagnie du chunin venait à se terminer. La mission était un échec et finalement le résultat ne serait que des jeunes qui devront assumer les conséquences de leurs actes. Il n’y avait aucun mort et les blessés n’étaient que les jeunes terroristes qui n’avaient subis que quelques coups. Juste de quoi les assommer.

Daiki avait toutefois pu assister aux compétences de l’homme élastique. La capacité de pouvoir étendre son corps était une chose que le jeune genin n’avait jamais pour apercevoir de ses propres yeux. Une chose assez unique ou plutôt une chose assez rare. Mais cette particularité avait eu le mérite de neutraliser le chef de la bande qui ne représentait certainement pas une menace au vu de la facilité avec laquelle il venait à s’être fait prendre.

C’était une drôle d’histoire que ces terroristes. Aussi après avoir inspecté la pièce pour vérifier qu’il n’y avait personne à neutraliser encore. Le supérieur de Daiki venait à lui ordonner d’attacher les coupables. Sans même dire un seul mot il hocher de la tête pour approuver la réception de l’ordre.
Saisissant plusieurs liens dans sa sacoche, le ninja avait opté pour des liens métalliques. Il aurait pu prendre ceux en plastique pour ne pas blesser les jeunes gens, mais il estimait que le fer était un bon moyen pour neutraliser les gens de manière définitive sauf cas à part.
Que cela soit les brute sou bien les femmes, nulle n’échappait à la séance de menottage. On pouvait dire que sur le principe le genin venait à appliquer l’égalité des sexes.

Les gens regroupés et neutralisé, Daiki devait à présent se rendre au poste du Mihari le plus proche. Il n’avait que très peu eu affaire au membre de cette unité. Et on ne pouvait pas dire qu’il avait un quelconque avis à leur sujet. Simplement il falalit suivre els ordres et les ordres l’amenaient tout droit vers eux.
Avant de s’en aller à leur rencontre le jeune homme annonçait son départ à son supérieur.

-Je vais chercher immédiatement des membres du Mihari.

Puis assez rapidement il venait comme à faire une évasion ninja pour se rendre au plus vite au poste du Mihari. Son objectif était simplement d’en finir au plus vite avec cette mission.
Une fois là-bas on lui disait qu’il faille se référence rpour vérifier son identité ce qui n’avait pris que peu de temps d’autant que l’homme à la peau de bête avait une certaine réputation dans le village, celle d’être un jeune atypique.
Mais qu’importe accompagnait d’une dizaine d’autres ninjas. Il se rendait rapidement jusqu’au repaire des jeunes. Daiki n’avait donc plus que le rôle de guide dans cette courte aventure.
De retour dans le souterrain Daiki annonçait son arrivé et y laissait son supérieur parler avec le chef de l’unité du Mihari.

-J’ai ramené comme convenue les mecs du Mihari. Autre chose ?

La mission était donc un succès. Ce qui n’était pas sans réjouir le jeune genin. Il se doutait déjà bien avant qu’il soit allé chercher les membres du Mihari que cela était un succès. Mais à présent cela se confirmé par le fait que le supérieur de Daiki venait à laisser la main aux renforts.
Ce même supérieur un chunin avait eu droit à un certain respect de la part du Mihari, qui sait peut-être en faisait-il même parti ou bien alors le Mihari avait un profond respect pour ce qui était du grade.

Quoi qu’il en soit Daiki était heureux de savoir quelques pensées de son supérieur à son égard. Cela était peut-être un mensonge, mais lorsqu’on aime entendre des choses on ne chercher pas à vérifier si elles sont vraies.
Le Mihari faisait les choses comme il fallait, vérifiant les liens pour ne pas commettre d’erreur avec les jeunes, ils n’allaient pas tarder à plier bagage en laissant derrière eux une banderole pour indiquer au citoyen lambda de ne pas rentrer sur la scène de crime.

Daiki de son côté pouvait commencer à regagner le bureau central pour rendre son rapport de mission et expliquer chacun des détails de mission. Nul doute que sa prise de risque inconsciente n’allait pas être du goût de tout le monde. Mais à ses yeux les ninjas se devaient de prendre des risques, surtout en cette période d’incertitude. Seul le temps viendrait à lui donner raison ou non.

Suivant de près le groupe de jeune qui se faisait embarquer pendant ne serait-ce qu’un temps, leurs pas suivaient le même sentier au sein du village. Au milieu du chemin les jeunes venaient à rentrer dans le poste et Daiki continuait sa route pour finalement arriver au bureau des missions. Là Il ne lui restait plus qu’à s’adressait à l’un des nombreux ninjas en charge de l’administratif.