Elle n'aimait pas faire ça.

Quitter la proximité des villages qui avaient été marqués des attaques des évadés d'Arashi, c'était comme laissé son enfant de 6 ans seul à la maison. Tout devrait bien se passer, mais elle était anxieuse. Yūsei ne se considérait pas comme responsable de la protection de toutes les personnes ayant subit ces assauts où des villages, ce n'était absolument pas son point de vue. En réalité, elle avait été au cœur de ces évènements depuis leur commencement et c'était son vœu le plus cher aujourd'hui que de redonner une nouvelle vie à ces endroits, leur faire retrouver leur splendeur et encore plus. Elle avait encore une montagne de choses à faire, d'objectifs que personne ne lui demandait d'accomplir mais qui était obligatoires. Elle n'y avait même pas réfléchit, c'était inné dans son esprit. Elle devait bouter les hors-la-loi qui restaient sur les terres, elle devait reconstruire l'esprit Mizujin si fier partout où elle allait, et aider à organiser les population afin de bâtir de nouveaux bâtiments sur les cendres des anciens. Quelqu'un devait bien le faire. L'armée était occupé à protéger le Daimyo et l'île principale. Mais elle, la Mujitsuame pensait à toutes les îles qui avaient subies les assauts et dont personne ne s'était occupé. Cela faisait deux ans que ces dernières était traumatisée, sûrement encore sous le joug de divers malfrats. Tous, allaient être boutés hors du Pays de l'Eau. Ce qu'il y avait de formidable, c'est que partout où allait la jeune fille, il restait des bribes d'espoir. Des morceaux à recoller. Et elle, elle aimait redonner la force mentale à toutes ces personnes. C'est ce qui continuait de la faire se lever chaque matin, s'entraîner et tout donner pour son pays. C'était sa motivation, de savoir qu'elle aidait les autres.

C'est encore ce qu'elle faisait aujourd'hui, mais loin de là où elle opérait depuis déjà des dizaines de mois. Elle avait prit une embarcation partant de Kuidouraku, désormais sécurisé grâce au travail de la kunoichi et des habitants des lieux, courageuses âmes étant restées fidèles à leur village natal. Longeant la côte Sud de l'île principale elle passa à côté de Nantou et au-dessus de l'île Yashiro afin d'éviter tout risque. Il n'était pas sage de passer par l'Ouest de l'ile sauvage, tant les courants du Ryuujin étaient féroces. Yūsei avait admirer l'édifice naturel qu'était l'immense montagne, et toute la végétation de l'endroit. C'était un but, ça aussi. Cette île l'intriguait. Personne n'y vivait, personne n'y allait, mais elle était trop curieuse pour s'en empêcher. C'était souvent le genre de chose qui amenait la jeune fille à prendre des décisions stupides et à les regretter. Mais elle avait du temps. Kyohei, Toshoku, son village natal Netami, Jouyoku, Gekido et Yokubuka. Toutes ces îles ou village pour le dernier lieu étaient des endroits à purifier. Purifier de la vermine qui l'avait souillé pendant trop longtemps. Il fallait mettre un terme à cela. Plus longtemps ces gens là étaient permis de rester sur les terres de Mizu, et plus le pays perdait en prestance.

Il y avait donc encore du temps, avant que la demoiselle ne vienne sur l'île de Yashiro. Et elle se doutait qu'avec tout ce qu'elle allait entreprendre entre temps, elle serait hautement plus forte et capable de venir ici sans craindre de mourir dès les premières minutes de son arrivée. Le reste du voyage fut effectué et Yūsei déposée comme convenu avec le responsable de l'embarcation au Nord-Ouest de l'ile de la Capitale. Là, elle était seule. Enfin, elle avait plus d'espace pour elle et serait moins surveillée. C'est ainsi que la demoiselle utilisa un Henge afin de prendre une apparence qu'elle connaissait bien. Celle d'Hiroo, hors-la-loi ayant sévit au village de Kuidouraku et mort d'empoisonnement causé par la demoiselle. Ce dernier lui avait confié dans ses derniers moments qu'il était devenu bandit afin de pouvoir guérir la maladie de sa femme. L'histoire avait marqué la demoiselle, mais chacun est responsable de ses choix et des conséquences qu'ils engendrent tous. Yūsei n'était donc plus cette jeune fille assez grande et fine, aux longs cheveux bleus mal entretenus à cause de son quotidien mouvementé. Non. Elle était un homme trapu, de la même taille qu'elle avait dans son apparence originelle. Une bonne musculature et des mains énormes, sans barbe avec une mâchoire saillante. Vêtu comme un voyageur, cape sur la tête et vêtements sombres, adaptés au climat humide du Pays de l'Eau.

Elle avait prit son temps afin de rejoindre la Capitale. Elle n'était pas en retard, elle ne souhaitait pas se presser et surtout, passer au travers d'un lieu nouveau était rafraichissant. Elle oubliait le quotidien mouvementé pendant quelques minutes, son esprit s'allégeait. Cette balade lui fit du bien, aussi simple soit elle. Un aller direct pour Asanagi. Son contact pour cette mission lui avait spécifié la date et le lieu du rendez-vous auquel elle se rendit. Mais pourquoi diable la médecin acceptait cette mission comme une mercenaire ? Une seule réponse valable, la paye. Partout où la demoiselle se rendait, les gens étaient appauvris. Et elle aussi avait besoin d'argent pour subvenir à ses besoins. En acceptant ce contrat, elle était -de son point de vue- grassement payée. Cet argent allait servir à maintes choses. De ce qu'elle avait saisit, elle devait rencontrer un noble, commanditaire de la mission puis se rendre à Nantou où elle aurait à délogé sa cible afin de l'éliminer. Elle ne serait pas seule, tant la cible était dangereuse. Mais pour l'instant, la discrétion était de mise.

L'assimilatrice ne dit aucun mot pendant le rendez-vous. Elle se contenta de brefs signes de tête à l'égard du noble ou de ses collègues pour saluer ou acquiescer.

Résumé :

Une fois l'homme partit et les trois missionnés seuls, Yūsei put enfin prendre la parole. La technique qu'elle avait employée était extrêmement basique. Ainsi sous les apparences de cet homme trapu, la voix de la jeune femme sortit afin de répondre aux deux.



Court, simple et efficace. Quel pétrin, honnêtement. C'était le problème des contrats de ce genre, qui attirait n'importe qui, même des trous du culs. Une pirate, un misogyne et qui déteste Mizu. Su-per. C'était vraiment son jour de chance, à l'assimilatrice. Elle allait devoir faire équipe avec de la racaille. Des types qui aurait très bien pu se trouver là lors des attaques des anciens prisonniers d'Arashi. Elle détestait déjà par avance l'expérience, mais elle se contenta d'employer un ton radical et sec. Le sourire angélique qu'elle abordait d'habitude était partit, complètement envolé. C'était vraiment pas de chance de tomber sur deux personnes aussi détestables pour une exception à la règle. Elle qui passait son temps à aider les populations et essayer de libérer le pays de ce qu'il avait subit à cause des hors-la-loi libérés il y a deux ans se permettait une "pause" dans cette mission qu'elle s'était attribuée toute seule. Et voilà qu'elle se retrouvait avec deux gus horribles. Quelle plaie.

La Mizujin aurait tourné sur ses talons et serait instantanément partie en direction d'un port le plus proche. Trouver une embarcation et quelqu'un qui acceptait de faire le voyage fut assez simple, étant donné la quantité de bateaux et de ports dans la capitale. Ils débarquaient de nuit dans la ville portuaire. Un avantage comme un défaut. L'activité principal de la cité semblait en arrêt total, et comme ils arrivaient de nuit, se renseigner sur place était quasiment impossible. Se rendant pourtant vers un restaurant émettant ses dernières lumières avant la fermeture, la demoiselle qui observait ses alentours vit au début d'une ruelle sombre un tonneau sur lequel une affiche était collée. "Ils". La kunoichi décida de se réunir avec ses partenaires après avoir été glaner des informations au propriétaire du restaurant.

Elle aurait alors partagé ce qu'elle savait et la destination. Il semblait évident qu'il allait falloir mettre une tactique au point. Reprenant son ton sérieux et professionnel, la demoiselle dit.

Résumé :

Le pirate avait abattu ses cartes et joué son jeu. Mais en prenant cette voie là, il s'était apparemment enfermé seul dans son coin. Alors que le regard perçant de l'homme rencontrait les pupilles également bleutées de la jeune fille, il ne pouvait constater aucun changement dans ses expressions faciales. Pas pour l'instant du moins. Elle était toujours concentrée, déterminée. Evidemment, l'homme primé en face ne savait pas à qui il avait affaire, et il s'était méfié. Mais s'il était aussi sûr de sa possibilité de tuer, pourquoi ne s'était-il pas interrogé simplement sur la prise de position du pirate et de celle des deux femmes ? Alors qu'il répliquait en quémandant une explication, Yūsei tourna la tête vers le pirate qui se faisait inviter à leur table afin de l'observer quelques instants. Il n'avait vraiment pas été de bonne compagnie, celui-là. Et comme le jeu auquel il jouait semblait vraiment être celui du personnel, la Mizujin se décida à faire la même chose. Elle retourna donc fixer son regard océan dans celui de l'homme balafré, déglutissant et expirant par le nez avant de commencer.


Alors que l'homme reprenait et s'installait confortablement dans sa chaise, l'Assimilatrice observa les deux personnes sur ses côtés. Des gens avides de pouvoir et d'argent.


Elle déglutit de nouveau et continua afin de finir, le regard toujours dans celui de son interlocuteur.


Disait-elle, déviant le regard sur le pirate à sa gauche. Yūsei était du genre rancunière, quitte à en oublier un peu la stratégie. Et ce type là, c'était probablement un salaud.

Résumé :

Le coup envoyé par le pirate la surprit. Elle ne s'était pas attendue à une réaction aussi rapide et violente. Absolument pas préparée ou sur ses gardes, son corps suivit le mouvement de sa tête. Elle fut donc amenée vers l'avant, plaquant ses avant-bras sur la table en bois devant elle pour se réceptionner, alors que sa tête elle se penchait vers l'avant toujours un peu plus proche du meuble sur lequel elle était désormais appuyée. Ses cheveux attachés l'avait suivit sans se défaire, et la jeune fille fixa le bois devant elle. Elle déglutit instantanément, et ne bougea point pendant quelques instants. Yūsei garda les yeux légèrement écarquillés alors que son rythme cardiaque augmentait. Le choix était sien. S'emporter par la colère et riposter ou se taire et laisser couler. Elle expira du nez avant d'inspirer de nouveau une première fois, tandis que le sang dans tout son corps accélérait ses passages. Son cœur battait plus fort. Elle resserra ses poings en entendant la réplique de l'homme qui venait juste de l'humilier publiquement.

Ce n'était pas le problème, ici. Le soucis, c'était qu'il la traitait de menteuse. Qu'il la considérait comme une petite fille, sûrement innocente et n'ayant rien vécu de traumatisant dans sa vie tant qu'il la comparait à une petite chaperonne et lui à un loup. Elle refusait que cela soit le cas, elle refusait que quelqu'un puisse penser qu'elle était aussi fragile. Certes, elle n'avait pas grandit dans les pires conditions possibles mais depuis qu'elle était devenue une ninja tout s'était enchainé. Arashi, les attaques, tout cela avait engendré énormément de choses. Qui était-il pour lui parler come cela, lui ?! Elle expira et inspira pour une deuxième fois, de manière plus audible cette fois. Qu'est-ce qu'il pensait connaître au juste de la côte Ouest de l'île principale, ce pirate ? La Mujitsuame venait d'y passer une bonne année et demi, à constater mort et désolation. Pauvreté, précarité. Tout cela engendrait encore d'autre soucis. La majeure partie de ceux qui avaient du pouvoir dans ce genre de situations s'en servaient pour prendre un avantage considérable par rapport aux autres quitte à les enfoncer. Elle avait pu le constater. Les gardes engagés n'étaient pas forcément aussi rigides, et la moindre petite occasion de briller s'arrachait. Maintenir une cohésion de groupe était un défi de tous les jours. Celui-là se contentait de piller, de ruiner le travail des honnêtes gens.

Mais pour qui se prenait-il donc ?! L'Ouest de l'île sur laquelle ils se trouvaient aujourd'hui avait bien des difficultés. Quel utilité il y avait à se révolter alors qu'ils venaient tout juste de passer un moment difficile ? Il n'y comprenait rien, du moins c'est ce que Yūsei pensait. C'était un malfrat, un hors-la-loi pathétique ramassant le travail des autres. Il se pensait supérieur parce qu'il avait un sabre à la taille et qu'il avait peut-être vécu quelques aventures. Une troisième expiration et inspiration se fit entendre, clairement plus intense encore que la deuxième. Elle était décisive. La kunoichi s'était décidée. Mais avant qu'elle ne bouge, la voix de Shikeishu la sortit de ses 3 secondes de réflexion intenses. Elle releva la tête, cherchant à comprendre la situation. De son point de vue, Akaï venait tout juste de finir sa phrase que l'homme en face enchaînait. Elle vit la main se déformer lentement et fuser vers la femme, suivant le mouvement du regard en tournant sa tête. Puis la même chose vers le pirate qui venait tout juste de la frapper. Elle redressa son dos et se recula par instinct, plaçant ses avant-bras devant elle.

Ses yeux bleus fixèrent ceux de l'homme, alors qu'il se redressait. Elle sentit un frisson faire trembler ses épaules soudainement si frêles. Elle ne regardait plus que lui dans cet instant. Yūsei avait vue des centaines de gens mourir sous ses yeux, mais cette fois-ci était assez spéciale. Là, c'était une démonstration de force pure et simple. Il avait respecté ses mots, échangeant la vie des trois contre un service. S'ils ne pouvaient offrir un service assez bon, ils perdaient la vie. La pirate n'avait apparemment rien eût de trop intéressant à offrir, tandis que son homologue masculin lui avait quelque chose mais son attitude l'avait mené à une situation précaire. La jeune fille craignait pour elle, le regard apeuré et dans l'anticipation que quelque chose se passe. Elle fixait toujours Shikeishu alors que ce dernier s'intéressait enfin à l'Assimilatrice.

Elle semblait avoir réussit. Ses paroles avaient trouvées leur cible, et fonctionnées. Comme elle le pensait donc, le Jinsei travaillait pour le peuple. Les pirates n'étaient pas intéressants, ils n'offraient que des moyens de réussir leur but actuel. Faire tomber le Daimyo. Et dans ce sens là, Yūsei l'avait clairement fait comprendre. Elle était pour et allait œuvrer dans ce sens. Le Jinsei, c'était le bien. Elle avait désormais une source de soutien pour son projet de libérer les îles, et elle pouvait en plus de cela admettre son aversion pour le régent du pays. C'était comme si tout se passait pour le mieux, comme si ses efforts payaient. Elle se contenta d'hocher la tête devant le balafré, afin d'accepter.

Résumé :

La pirate venait de voler, balancée plus loin par le fil qui s'était lié à sa gorge. Yūsei la suivit du regard dans sa chute et dans les secondes d'après alors que le pirate parlait. Elle ne l'écoutait pas, concentrée sur la femme qui perdait énormément de sang. En vérité, elle avait même détourné la tête de Shikeishu bien que son corps lui faisait face. Celui qui marchandait actuellement pour sa vie auprès de l'alpha de la pièce n'intéressant pas la jeune fille, c'était certain. Mais c'était encore différent. Ce n'est pas parce qu'une personne n'est pas intéressante qu'il ne faut pas s'intéresser. Toutes les informations peuvent être utiles, la Mujitsuame l'avait bien saisie durant ces derniers mois. Mais ce qui se passait au sol derrière le comptoir était plus important que tout. Une vie était entrain de disparaître, là, sous les yeux de la ninja médecin. Elle n'y pouvait rien, du moins actuellement. Elle avait évidemment souhaité accourir à son aide et la soigner instantanément mais la situation dans laquelle elle était l'en empêchait. Cette fille était dans cette position à cause de ses paroles et le balafré à qui elle avait manqué de respect l'avait remise à sa place. Alors aller la soigner juste après ça, c'était comme mettre en doute l'autorité de l'alpha de la pièce. Et l'Assimilatrice n'était pas assez folle pour cela. Deux avaient déjà tentés ici et leurs positions étaient précaires. Elle, s'en était bien tirée.

La jeune fille aux yeux bleus restait donc fixée sur Nyre. Elle examinait comme elle le pouvait sa gorge afin de constater la profondeur, mais la distance rendait l'exercice difficile. La pirate eût le bon reflexe de ralentir l'hémorragie avec ses mains, mais elle prit alors aussi tôt la mauvaise décision de parler. Quelle idiote. Pourquoi appeler plus de sang à la gorge alors que c'est de là d'où tu saignes ?! La voix de Shikeishu ramena Yūsei à la discussion principale. Elle tourna sa tête vers l'utilisateur de fils, un art bien étrange d'ailleurs, et se repositionna correctement sur sa chaise. Elle espérait qu'il fasse vite, plus de temps il prenait, et plus elle se vidait de son sang. La kunoichi plaça ses pieds au sol de manière à pouvoir se diriger vers le comptoir et elle commença à tendre les muscles de son corps, patiente mais bouillante à l'intérieur. La danseuse écouta attentivement le brun cependant, car elle ne pouvait se permettre de louper ce qui se passait ici devant elle. C'était trop important pour le futur. Sagement, elle attendit qu'il finisse ses phrases les unes après les autres. Et au moment où son silence fut évocateur de sa fin de prise de parole, Yūsei déguerpit. En prenant appuis sur ses pieds et en contractant ses muscles, elle se rua vers la position de Nyre et se mit à genoux à côté d'elle, se penchant au-dessus de la blessée. Une fois sur place, elle exécuta ses mudrās en observant ses propres mains. Elle ne voulait pas se tromper et perdre du temps. Et dès qu'elle eût finit sa combinaison elle approcha ses paumes de la gorge de Nyre.

De celles-ci, un flot d'eau découla et se dirigea vers la gorge de la pirate. Mais ce n'était pas simplement de l'eau, Yūsei savait ce qu'elle faisait. Chaque goutte d'eau qui sortait de ses mains était imprégnée d'une dose d'Iroujutsu.



Dit-elle d'une voix claire et audible. Mais la pirate semblait déjà perdre connaissance. Puis l'Assimilatrice tourna sa tête vers le pirate, celui même qui l'avait frappée. L'air déterminé, les yeux emplit d'un sérieux et d'un empressement lisible, elle haussa sa voix et lui ordonna.



Chaque seconde comptait dans ce genre de moments. Elle ne pouvait se permettre de perdre du temps. Partout d'où le sang sortait, l'eau s'appliquait afin d'essayer de stopper l'hémorragie mais aussi de refermer les plaies. Malheureusement, elle ne pouvait pas tout faire et les entailles étaient profondes. La femme venait de perdre beaucoup de sang, en témoignait la flaque dans laquelle la Mujitsuame était accroupie. Il lui fallait sa trousse dans laquelle son matériel résidait. Elle aurait du tissu pour que le saignement soit interrompu et qu'elle puisse concentrer son jutsu sur les plaies à refermées.

Résumé :